80 [^I^7²] MBMomxs four suitu

Qum mecat innocuos tnolato fœdere nmtos₉Gallia non maier, sedtrmemtenta Imp* est.

AJU.ITSIO* DM CATHOLIQUE* SUB L* MOM ST I.A VOST TOC GOUGET.

In/austo quodsim Colligny nomine dictus,

Boe equidem dictum cœHtùs esseputo; Seu collum Hgno_f seu corpus junxeris igni₉

Conveniet rectè nominis hoc Etîmaov* Nam mihi supplicium juste debetur utntmque:

Ut prœdoni crux ₉ ignis ut hemtico.

Sic fous placuit, nomen et amen ut es set Igneus in 'vita, ligneus interitu.

( PASQUIE». )

Il courut après le massacre des vers mal faits sous le nom d'Edmond Auger, jésuite, qu'on dit avoir été basteleur de son premier metier; et y én a éîïcor plusieurs vivans qui assurent l'avoir vû mener Fours par les rues.

COMPARAISON DB CATHBRIHB ET DE s UZA BEL.

L'on demande la convenance De Catherine et Jezabel, L'une, ruine d'Israël ; L'autre, ruine de la France. L'une étoit de malice extréme , Et l'autre est la malice méme. Enfin le jugement est tel : Par une vengeance divine , Les chiens mangèrent Jezabel ; La charogne de Catherine Sera différente en ce point ₉Car les chiens n'en voudront point.

[i573] Extrait d'une lettre interceptée en septembre, écrite de Paris par un courtisan, a J'ay vû nos trois roys, celuy de France, celuy de Pologne, et celuy de

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	80 [^I^7²] MBMomxs four suitu **Qum mecat innocuos tnolato fœdere nmtos₉Gallia non maier, sedtrmemtenta Imp est.* AJU.ITSI*O DM CATHOLIQUE* SUB L* MOM ST I.A VOST TOC GOUGET. *In/austo quodsim Colligny nomine dictus,* *Boe equidem dictum cœHtùs esseputo; Seu collum Hgno_f seu corpus junxeris igni₉* *Conveniet rectè nominis hoc* Etîmaov* Nam mihi supplicium juste debetur utntmque: *Ut prœdoni crux ₉ ignis ut hemtico.*

	**Sic fous placuit, nomen et amen ut es set Igneus in 'vita, ligneus interitu. ( PASQUIE». ) Il courut après le massacre des vers mal faits sous le nom d'Edmond Auger, jésuite, qu'on dit avoir été basteleur de son premier metier; et y én a éîïcor plusieurs vivans qui assurent l'avoir vû mener Fours par les rues. COMPARAISON DB CATHBRIHB ET DE s UZA BEL. L'on demande la convenance De Catherine et Jezabel, L'une, ruine d'Israël ; L'autre, ruine de la France. L'une étoit de malice extréme , Et l'autre est la malice méme. Enfin le jugement est tel : Par une vengeance divine , Les chiens mangèrent Jezabel ; La** charogne de Catherine Sera différente en ce point ₉Car les chiens n'en voudront point. [i573] Extrait d'une lettre interceptée en septembre, écrite de Paris par un courtisan, a J'ay vû nos trois roys, celuy de France, celuy de Pologne, et celuy de

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